
l’appel du lointain Quand l’automne s’approfondit, les arbres qui entourent la domicile se dénudèrent peu à miette, déposant sur le sol un tapis de feuilles rousses. Les teintes chatoyantes qui entouraient la bâtisse renforçaient encore son émanation apaisée. Les clients occasionnels la qualifiaient même de lieu « charmant », attestation du large contraste avec l’époque où l’on la fuyait en tant qu' un repaire d’esprits contrariés. Un matin, Damien annonça qu’il désirait déloger pour un long voyage. Il ressentait l’appel de lieux plus lointaines, de montagnes enneigées ou de plaines encore inexplorées. Son deuil, même si toujours libellé en lui, ne dictait plus ses arbitrages. Il partait par soif, pour se réinventer dans un un univers voilé. Avant d’anticiper ses adieux, il fit le tour de la bâtisse, caressant les murs usés notamment on dirait au revoir à bien un vieil collègue, puis il laissa sur la table du salon une représentation de son épouse, accompagnée de mots faciles racontant sa gratitude. Madeleine accueillit cette réglementation bénignement. Elle comprenait que, pour lui, la appartement avait rempli un vedette important temporaire : celui de refuge et de catalyseur pour sa soulagement intime. À présent, il avait envie d’un ailleurs pour progresser sur son propre chemin. La bâtisse, elle, demeurait enracinée dans la rond de ce village, prête à accueillir d’autres âmes à la recherche d’apaisement ou de compréhension. Quelques journées après, un courrier inattendu parvint à Madeleine. Il provenait d’une personne installée à l’autre domaine du profession, qui avait sûr citer la métamorphose spectaculaire de la demeure. 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